Pluie, soleil, puis à nouveau pluie. Ces fluctuations de température inhabituelles perturbent le travail des couvreurs. Depuis près de 11 mois, Cédric en fait le constat. Ses 20 chantiers sont tous retardés. Par exemple, sur le chantier du château de Rupt. Depuis deux ans, ses artisans restaurent la charpente de ce château, construit en 1792. Les travaux sont financés par la Fondation du Patrimoine.
S’adapter à la météo
Pour y faire face, il cherche des solutions alternatives. La pénurie de main d'œuvre dans le secteur et les nombreuses urgences dues aux intempéries à Meures et à Poissons n’ont fait qu’aggraver les retards. Les premiers à en pâtir sont les clients. Désemparé, le propriétaire a refusé de nous répondre.
Sentiment d’impuissance
Christophe connaît la même situation. Couvreur à Saint-Dizier depuis 12 ans, il observe également avec impuissance ces nouveaux phénomènes météorologiques. Il tente de s’adapter. Ces deux couvreurs espèrent que ces phénomènes météorologiques ne deviendront pas récurrents au fil des années.