Ils étaient une quarantaine, en fin d’après-midi pour exprimer leur mécontentement devant la Direction des Services Départementaux de l'Éducation Nationale à Chaumont, en Haute-Marne. Plusieurs enseignants ont répondu à l’appel des principaux syndicats.
Salaires, conditions de travail, réformes inégalitaires ou encore les dernières annonces de la ministre Amélie Oudéa-Castéra. Les raisons de la grève de ce jeudi 1er février sont nombreuses.
Des parents aussi mobilisés
Cette journée de mobilisation nationale était aussi l'occasion pour certains parents d’élèves de faire entendre leur voix.
Ils étaient plus d’une dizaine, ce matin, au carrefour situé entre les villages de Mognéville et de Contrisson dans la Meuse. Leur but ? Tenter d'obtenir des signatures pour leur pétition qui lutte contre la fermeture d’une classe au sein du groupe scolaire de Contrisson.
D’après le syndicat enseignant FSU, l’académie Nancy-Metz prévoit la suppression de 30 postes d’enseignants, à la rentrée prochaine. Impensable pour les parents d’élèves meusiens.